En tant que Française je suis admirative de la force et l'inventivité avec lesquelles les Québécois défendent leur langue. De mon côté de l'atlantique nous nous laissons envahir par les anglicismes (on se calme, j'ai été prof d'anglais j'adore cette langue) et surtout la langue du capitalisme et du monde des affaires au lieu d'utiliser des alternatives en français.
En tant que Française je suis admirative de la force et l'inventivité avec lesquelles les Québécois défendent leur langue. De mon côté de l'atlantique nous nous laissons envahir par les anglicismes (on se calme, j'ai été prof d'anglais j'adore cette langue) et surtout la langue du capitalisme et du monde des affaires au lieu d'utiliser des alternatives en français.
Merci pour ton regard Laure.
Oui, ici aussi, c’est un travail de tous les jours. Au-delà de la langue, c’est une manière d’habiter le monde.
Depuis la pandémie, on sent combien nos mots, nos gestes, nos valeurs sont bousculés.
Tenir à sa langue, c’est aussi tenir à soi
à ce qui nous relie
à ce feu qu’on ne veut pas laisser s’éteindre.