🐺Hommage à Femmes qui courent avec les loups
Et surtout à toutes celles qui ne peuvent plus faire semblant
Il y a des livres qui ne se lisent pas. Ils vous mangent.
Vous réveille. Vous secoue.
Ils viennent déchirer un voile que vous ne saviez même pas porter.
Ils ouvrent une mémoire ancienne, tapie sous la peau.
🐺 Femmes qui courent avec les loups de
Clarissa Pinkola Estés
est de ceux-là.
Je vais le relire cet été pour la cinquième fois.
Parce qu’à chaque relecture, il me parle autrement.
Et j’ai hâte de découvrir ce qu’il viendra réveiller en moi, à ce moment précis de mon chemin.
Et vous, avez-vous aussi ces livres qui vous accompagnent au fil des années ?
J’ai lu ce livre dans ma vingtaine.
J’étais déjà en quête de sens.
De vérité. D’absolu. De compréhension.
Ce livre m’a ébranlée.
Et il a réveillé ma femme sauvage.
Il est devenu mon livre-rituel.
Un compagnon de seuil.
Un feu de forêt dans ma bibliothèque.
🕯️ Ce livre vous rappelle ce que vous aviez presque oublié
Que la douleur est un tambour !
Que le silence est un langage !
Que la femme sauvage ne meurt jamais !
Elle s’endort dans les placards de la conformité.
Et attends le bon rythme.
Le bon cri. Le bon effondrement pour revenir.
✾ Clarissa
ne s’adresse pas à votre mental
Elle vous raconte.
Avec ses contes d’os, de louves, de jupes rouges et de descentes dans les entrailles, elle murmure que tout ce que vous sentez est vrai :
Que le monde va trop vite !
Que la croissance à tout prix est une impasse !
Que l’intuition ne ment jamais, même quand elle ruine un beau plan de carrière !
Elle montre que le chaos n’est pas une faiblesse. Mais une initiation.
Et que celles qu’on dit trop sensibles, trop lentes, trop instables…
Sont souvent les gardiennes du passage.
🦴 Ah… les contes d’os
Ce ne sont pas des allégories pour enfants sages.
Ce sont des histoires pour femmes en mue.
Pour celles qui sentent que quelque chose doit mourir…
Et qui ne savent pas encore quelle part d’elles est en train de naître.
Ce sont les fables qu’on entend quand la surface ne suffit plus.
Quand la stratégie sonne creux.
Quand les anciens modèles ne tiennent plus.
Quand vous sentez qu’il faut descendre.
Dans la grotte. Dans le ventre. Dans l’inconfort fertile.
✾ Les contes de celles qui marchent avec des os dans les poches
Pas pour faire peur. Mais pour se souvenir.
Les os, c’est ce qui reste quand tout a brûlé.
Ce sont les vérités irréductibles.
Les savoirs instinctifs qu’aucune formation ne peut enseigner.
Les lignées oubliées qui battent encore sous votre peau.
🕯️ Ce sont les histoires que l’on raconte quand il ne reste presque plus rien
Quand tout ce qui était chair, forme, rôle ou masque s’est effondré.
Ce sont les contes du fond.
Ceux qu’on entend quand le bruit du monde s’éloignent ?
Ceux qui remontent des tréfonds de la psyché.
Comme un chant d’ancêtre.
Clarissa Pinkola Estés
en parle magnifiquement dans Femmes qui courent avec les loups, notamment à travers l’histoire de La Loba, la femme qui ramasse les os.
🦴 Qui est La Loba ?
La Loba, c’est la femme sauvage archétypale.
Celle qui vit dans le désert. En marge. En silence.
Elle passe ses journées à ramasser des os.
Des restes. Des traces. Des fragments d’anciens êtres vivants.
Et quand elle a tous les os nécessaires, elle les pose en cercle.
Les relie. Les chante… Et le squelette reprend vie.
Il se redresse. Il court. Il revient au monde sous une nouvelle forme.
✾ Que symbolisent ces os ?
Les os, ce sont les vérités enfouies.
Les intuitions non écoutées.
Les désirs réprimés.
Les morceaux d’âme abandonnés pour s’adapter, plaire, survivre.
Ce sont les souvenirs qui résistent au temps.
Les histoires plus anciennes que votre nom.
Les parties de vous que la performance a délaissées.
✧ Si tu veux marcher avec La Loba :
Ferme les yeux.
Quel est l’os que tu refuses encore de ramasser ?
Nommes-en un. Juste un.
Respire.
Tu viens de commencer ton propre chant.
🕯️ Ramasser les os, c’est faire le travail que personne ne voit
«
La Loba chante sur les os, et à mesure qu’elle chante, la créature prend forme. Elle se redresse. Elle court. Elle danse. Elle revient à la vie. » –
Clarissa Pinkola Estés
C’est aller dans les zones mortes. Les ruines intérieures.
C’est redonner forme à ce qui semblait perdu.
C’est retrouver ce que vous avez abandonné pour être acceptable.
C’est faire de votre entreprise un sanctuaire, pas une vitrine.
Un espace où vos vérités retrouvent forme et voix.
Ramasser les os, c’est un acte d’amour radical.
Un travail de mémoire.
Un art de reconstruction symbolique.
« Qu’est-ce qui m’attend au-delà de ce seuil ? »
C’est le moment de réassembler ce qui semblait épars. C’est là que tu chantes sur tes propres os.
💡 Indice
: clarté soudaine, projet intuitif, retour à l’essentiel.
Clarissa
parlait de la Femme sauvage
Vous sentez peut-être que c’est aujourd’hui votre entreprise qui appelle cette sauvagerie douce.
Une entreprise qui ne se conforme plus.
Qui respire. Qui se transforme.
Qui laisse mourir l’ancien pour accoucher du vivant.
Vous sentez que ce que vous créez ne vous nourrit plus.
Que vos offres sonnent faux.
Que votre voix se déforme dans les stratégies qui plaisent à l’algorithme… mais trahissent votre feu.
Vous êtes à un seuil.
Et vous méritez un espace sûr pour le traverser.
🕯️ Ce feu n’est pas destructeur
Il est purificateur.
Il ne vous brûle pas.
Il vous rend à vous-même.
C’est le feu du discernement.
Celui qui vous dit :
« Assez. »
« Plus comme avant. »
« Il est temps de choisir ce qui vibre juste. »
« Qu’est-ce que je dois laisser mourir ? »
« Qu’est-ce que je dois laisser mourir ? »
Ici, on laisse partir l’ancien : une offre, une posture, un masque. C’est inconfortable. Mais c’est fertile.
💡 Indice
: émotions à fleur de peau, friction intérieure, colère douce.
✾ Revenir à soi, c’est un acte de rébellion douce
« Être soi-même fait peur. Cela demande du courage. Il faut être prête à ne pas plaire. » – Clarissa Pinkola Estés
Clarissa Pinkola Estés
nous rappelle ici que ce retour à soi dérange les normes, ébranle les attentes, et appelle une fidélité profonde à notre vérité.
Ce n’est pas un luxe. C’est une nécessité.
Quand vous créez à partir de votre centre, au lieu de créer pour plaire, votre entreprise devient une œuvre d’alignement.
Un feu sacré posé au cœur du monde.
Un rappel que l’acte d’entreprendre peut être un chemin de mémoire, pas de performance.
🦴 Quand une femme recouvre ses instincts
Elle sait.
« Quand une femme revient à son instinct, elle revient à la vie sauvage. Et c’est cela qui change tout. » – Clarissa Pinkola Estés
Cette citation incarne la promesse du retour à soi : un point de bascule vers la liberté intérieure. C’est dans ce retour que réside la puissance entrepreneuriale des femmes que j’accompagne. Car toute création authentique commence par cette reconnexion vitale aux instincts, aux rythmes, à la vérité nue du corps.
C’est là que la voie s’ouvre, à rebours des dogmes et des calendriers de performance.
C’est là que naît l’entreprise vivante.
Elle sait quand une collaboration est terminée — même si elle est rentable.
Quand une idée est morte — même si elle a demandé des mois de travail.
Quand une saison se ferme — même si les autres l’applaudissent encore.
Son corps sait.
Son ventre sent.
Sa voix intérieure vibre.
Et elle choisit de s’y fier plus qu’aux « experts ».
Plus qu’au marché.
Plus qu’aux tendances.
« Mon corps sait. Est-ce que je l’écoute ? »
Reconnexion aux instincts, aux cycles, aux limites. C’est le début de la descente vers le vrai.
💡 Indice
: un non refoulé, une envie de silence, un besoin de solitude ou de mouvement.
✾ La femme qui se rappelle crée avec ses mains
Elle ne fait pas que réfléchir.
Elle fabrique.
Elle touche.
Elle transforme.
Elle tisse.
Elle remet du sacré dans l’ordinaire.
Elle jardine, écrit, cuisine, assemble.
Elle fait de l’espace en elle pour recevoir l’inspiration juste.
« La femme qui ramasse les os sait qu’il faut un espace intérieur vaste et sacré pour que la renaissance ait lieu. » – Clarissa Pinkola Estés
🕯️ Elle a une vie intérieure riche, intuitive, profonde
« Quand une femme vit en contact avec son monde intérieur, elle devient La Loba : celle qui entend l’appel des os, des symboles et des rêves, et qui sait les faire chanter. » – Clarissa Pinkola Estés
Elle écoute les rêves.
Les silences.
Les symboles.
Elle ne court plus après la validation.
Elle reconnaît que sa sagesse est déjà là.
Même si elle ne rentre pas dans les formats.
✾ Elle honore ses cycles
« La femme qui vit en accord avec ses cycles n’a pas besoin de calendrier. Elle sait quand semer, quand moissonner, et quand dormir sous la terre. » – Clarissa Pinkola Estés
Ses limites.
Son corps.
Elle ne se suradapte plus.
Elle dit non sans honte.
Et oui avec puissance.Elle ne s’épuise plus pour être aimée.
Elle ne s’excuse plus d’être sensible.
Elle sait quand partir. Quand rester ?
Quand se taire ? Quand hurler ?
Parce qu’elle marche avec les os de ses expériences.
🌿 Le retour à soi : fondement de l’acte d’entreprendre
« Lorsqu’une femme revient à elle-même, elle ramène avec elle la capacité de créer, de guérir et d’aimer profondément. » – Clarissa Pinkola Estés
Vous ne cherchez plus à « faire plus ».
Vous apprenez à ralentir pour mieux entendre.La vraie stratégie vient du corps.
Pas de la comparaison.
La clarté vient du silence choisi.
Pas du perfectionnisme.
C’est quand vous cessez de courir que vous retrouvez la main posée sur votre propre boussole intérieure.
« Et si créer devenait un acte de mémoire, pas de performance ? »
Ce que vous offrez n’a plus besoin d’impressionner. Il a besoin de résonner.
💡 Indice
: joie calme, envie de transmettre, désir d’oser autrement.
Ce que Clarissa m’a légué :
L’art de raconter pour révéler, pas pour expliquer.
Le courage de vivre lentement dans un monde rapide.
L’intelligence de l’invisible.
La beauté des os, des cendres, des silences.
Et surtout : la certitude que ce que nous vivons dans l’intime est souvent un acte mythologique.
✴︎ Alors je marche avec vous…
« La femme qui se souvient de son essence sauvage devient une source de lumière pour les autres. Elle ne guide pas par des conseils, mais par sa simple présence incarnée. » – Clarissa Pinkola Estés
Les femmes en transition.
Les femmes qui veulent s’entreprendre.
Les femmes qui visitent le chaos.
Les femmes sur le bord du seuil.
Les femmes en colère douce.
Les femmes en feu intérieur.
Les femmes qui s’excusent encore trop.
🔥 Merci Clarissa,
Merci de nous avoir rappelé que nous n’étions pas folles.
Que notre fatigue était sacrée !
Que notre lucidité était précieuse !
Et que la femme sauvage ne cherche pas à plaire.
Elle cherche à vivre, pleinement, viscéralement, poétiquement.
💬 Et vous, quel passage ce livre a-t-il ouvert en vous ?
Quel mythe vous habite encore aujourd’hui ?
Je vous invite à répondre, à partager, à déposer.
Parce que ce feu-là ne s’éteint pas. Il se transmet.
Avec tendresse et feu,
Annie 🌿
Annie Bahl 🌟 Guide d’affaires forte de plus de 30 ans d’expérience en entrepreneuriat, en accompagnement et en réinvention personnelle, aide les entrepreneurs à transformer leurs défis en occasions de croissance authentique, insufflant joie et motivation à chaque étape du parcours.
🦴 Vous sentez l’appel de La Loba ?
Celle qui ramasse les os.
Celle qui sait que tout peut renaître, même après l’effondrement.
Celle qui murmure que votre voix, votre entreprise, votre art ont besoin de vérité, pas de performance.
Si ce texte a touché une part oubliée de vous,
si vous sentez que vous êtes à un seuil,
alors peut-être est-il temps de chanter sur vos propres os.
✨ Je vous propose une rencontre gratuite de 30 minutes, un espace pour sentir, déposer, et commencer à tisser autrement.
Un accompagnement pour faire de votre entreprise une création vivante.
Une entreprise qui respire, guérit, ose.
👉 [Planifiez votre rencontre gratuite ici]
Pour en savoir plus …
🚀 Découvrir mes services
🤝 Réserver une rencontre de 30 minutes gratuitement
📥 Besoin de clarté : Télécharge gratuitement le guide des 5 passages que traversent les entrepreneures conscientes.
💌 Abonnez-vous à mon infolettre
Parce que le feu intérieur, comme La Loba, ne vous laissera pas tranquille tant qu’il n’aura pas retrouvé forme.